En parallèle de la psychologie, je réalise des documentaires sur des sujets sociaux qui me sont chers. La santé des mannequins en occupe une grande partie. Ce sont à la fois des études et des portraits des populations qui incarnent ces sujets.
Ce court-métrage s’inspire de la vie de deux marginaux de Paris. Ils passent leur journées à jouer aussi bien aux échecs qu’à des mikados de fortune faits de bouts de bois à même le sol.
Le but de ce film est d’apporter un regard différent, qui sort de l’(in)différence que l’on peut habituellement ressentir envers les personnes sans-domicile-fixe.
Le personnage de Michel n’est pas qu’un SDF, c’est aussi un homme plein d’humour qui se joue de ses pairs.
Sur le ton de la légèreté, j’espère emmener le spectateur à une réflexion plus profonde sur la façon dont ils perçoivent les marginaux, partager ma vision sur ces personnes en marge de la société.
(In)visible c’est un souffle d’air frais, un souffle d’humour, un souffle qui réchauffe.
Portrait des guerrières dans la mode
Portraits de six femmes mannequins sans filtres et sans maquillage. Dans une profession d’images figées sans parole, elles témoignent de leur quotidien en brisant les stéréotypes qui adhèrent tant au mannequinat. Ces femmes qui ont appris à devenir mannequin se sont forgées seules, sans école, dans un milieu plein de promesses et de tabous.
Manon, Chloé, Mawena, Christelle, Aline et Sarah se livrent sur leur attentes, leurs déceptions et leur avenir dans un métier éphémère.
C’est une illustration du concept “Glamour Labour” développé par la sociologue américaine Elizabeth Wissinger, sans paillettes à travers six guerrières de la mode qui se battent pour exister comme femmes et pas seulement par leur image.
Documentaire en cours sur les femmes qui incarnent le mannequinat d'aujourd'hui, d'hier et de demain.
C’est en mêlant mes connaissances en psychologie de la santé et mon expérience que j’ai voulu accès ce documentaire sur le bien-être des mannequins aujourd’hui. La forme de l’interview, y est privilégiée. Cela me permet de reprendre le cadre des entretiens psychologiques que j’ai pu mener.
Leur permettre de s’exprimer, c’est permettre aux jeunes générations qui souhaitent se lancer dans ce métier de rêve de le faire avec du recul.